Bonjour,

" Manou 33 " dans son blog nous a parlé  de l'un de ses voisins travaillant la vigne comme autrefois avec un mulet. Cela m'a rappelé mes vacances dans le " Blayais " dans les années 40 et m'a inspiré le pettt texte suivant. Bonne lecture. Merci.

Henri.

Le Cheval et la Vigne !

 Pour les travaux des vignes c’est beau le cheval,

 Cela peut-il maintenant devenir banal ?

 Et ceci me fait songer à nos vacances

 Passées dans le Blayais pendant notre enfance.

 Nous étions chez Marcel, vigneron « prixfaiteur »,

 Qui à ce moment là n’avait pas de tracteur.

 Les travaux se faisaient avec bœuf ou mulet,

 Que l’on voyait dans les vignes déambuler.

 C’était les animaux du propriétaire,

 Qu’il utilisait pour travailler les terres.

 Et Claude, mon frère Pierre et moi, tout gamins,

 Participions à quelques travaux à la main.

 Notre rêve c’était de pouvoir labourer,

 Avec une charrue par l’animal tiré.

 Le jour où Marcel donna son approbation,

 Ce fut pour nous trois une vrai consécration.

 Il nous suivait quand même avec précaution,,

 Mais c’était devenu pour nous une vraie passion.

 Il ne nous laissait faire que de courts moments,

 Car nous allions quand même un peu doucement.

 Pour nous des instants absolument merveilleux,

 Ce mulet dans les vignes, un plaisir des yeux.

 Des vacances en période plutôt troublée,

 Mais on ne pourra surtout pas les oublier.

 Henri LANDA (30 Juillet 2013)

Bonjour,

Ce Billet m'a été inspiré par " Jeanne FADOSI " Qui m'a appris un fait divers assez innatendu qui a eu lieu vendredi soir sur la plus belle avenu du monde à Paris. Une voiture (dont le moteur tournait ) enbarquée par le fourrière avec une fillette de dix ans dormant à l'intèrieur. Bonne lecture. Merci.

Henri.

Quand la Fourrière Dérape !

 C’était vendredi soir dans la capitale,

 Un fait divers pas tellement normal.

 La maman avec sa fillette de dix ans,

 Ne voulait stationner là que quelques instants.

 Comme sur son siège la petite dormait,

 La mère alors laissa le moteur tourner,

 Ceci pour assurer la climatisation,

 Pendant quelques minutes de son absence.

 Mais à son retour quelle énorme surprise,

 Qui pouvait lui faire piquer une crise,

 Dix minutes passées et plus de voitures,

 Serait-elle évanouie dans la nature ?

 Seulement les services de la fourrière,

 L’ont tout simplement embarqué sans manière.

 La maman a pu enfin la récupérer,

 De cet incident totalement sidérée.

 Evidemment la fourrière rapporte gros,

 Les «  fouriéristes » font un peu leur numéro.

 C’est la troisième fois que cela se produit,

 Et donne beaucoup à réfléchir aujourd’hui.

 La mère a été un peu inconsciente,

 Mai la fourrière pas vraiment bienveillante.

 Henri LANDA 29 (Juillet 2013)