Bonjour à toutes et à tous,

Pour ce défi des "Croqueurs de Mots" n° 161, "Jeanne Fadosi"  à la barre nous  propose le sujet du 29 Février, avec: "quiproquo sur la date". Elle nous demande de faire "pas trop long". J'ai donc tenté d'écrire quelques alexandrins sur ce sujet. Bonne lecture. Merci.

Henri. 

« Quiproquo sur la Date » ! (Défi N° 161) !

 Né (e) le vingt neuf Février, la galère,

 Tous les quatre ans, seulement l’anniversaire.

 Si certains, l’admettent avec un grand sourire,

Pour d’autres, c'est un véritable délire.

Alors, n’y a-t-il donc que des inconvénients,

 Où peut-on y trouver des côtés attrayants ?

« Le verre à moitié plein, ou à moitié vide »

Pour faire le choix, que chacun se décide.

 A ma connaissance,  ils ne sont pas nombreux,

 Et ne doivent pas en être très malheureux.

 Alors ceux qui  sont dans cette situation,

 Ne la subissez pas comme une punition.

 Recherchez en plutôt, les côtés positifs,

 En évitant tout sujet revendicatif.

 En résumé notre date de naissance,

 C’est pour tous, à la vie la reconnaissance.

 Henri LANDA (7 Mars 2016)

Bonjour à toutes et à tous,

Pour ce nouveau défi des "Croqueurs de Mots", c'est "Jeanne Fadosi" qui tient la barre du navire et nous laisse libre de choisir un sujet à notre guise. C'est donc "l'humour" qui m'a inspiré ces quelques alexandrins. Bonne lecture. Merci.

Henri. 

Qu’est devenu « l’Humour ?(Jeudi en poésie)

 Aurait-on perdu le sens de l’humour,

 Celui que nous avions chez nous depuis toujours ?

 Car lorsque j’entends les « nouveaux humoristes »,

 La majorité de leurs textes m’attriste.

Pas tous bien sur, certains sortent encore du lot,

 Mais quand  la vulgarité revient au galop,

Tous mes regrets ne cessent de s’accentuer,

Car à cet humour je ne peux m’habituer.

 Et comment oublier un « Pierre Desproges »,

 De ses sketchs, tous ne faisaient que des éloges.

 C’était toujours plein d’esprit, sans vulgarité,

 On avait beaucoup de plaisir à l’écouter.

 " Anne Roumanoff », aussi sur le plan féminin,

En souriant, sait distribuer son venin.

 Avec  elle,  aucun parti politique,

 N’échappe à ses savoureuses critiques.

Nul n’a  jamais oublié « Robert Lamoureux »,

 Car toutes ses drôleries,  nous rendaient heureux.

 Le rire nous est vraiment indispensable,

 L’oublier ne me parait donc, pas pensable.

 Alors oui, nous avons besoin d’humoristes,

Pour mieux traverser, une époque si triste.

  Henri LANDA (3 Mars 2016)