Bonjour à toutes et à tous,

Nous arrivons donc au dernier "Jeudi en Poésie" des "Croqueurs de mots pour l'année qui se termine et je ne voulais surtout pas le manquer. Pour notre amiral "Domi" qui tient toujours fermement la barre du navire, j'ai donc écrit un petit poème en alexandrins que je vous présente en vous disant "à bientôt". Bonne lecture. Merci.

Henri. 

Dernier « Jeudi en Poésie » pour 2016 !

  Oui, depuis hier nous sommes entré dans l’hiver,

 Et le monde semble vivre un vrai calvaire.

 Mais je voudrais quand même vous parler de Noël,

Qui pour beaucoup, hélas va s’avérer cruel.

 Bien sur les évènements sont plutôt tristes,

 Et cela ne nous rend  pas très optimistes.

 C’et devenu une fête religieuse,

 Alors prions tous pour une fin  heureuse.

 Mais surtout qu’elle que soit notre religion,

 Il faut qu’à plus d’humanité nous nous forgions.

 Et mon désir pour ma famille et  mes amis,

 Profitez au mieux de la vie, pas à demi.

 Ces fêtes sont indissociables de la vie,

 Profitons en au maximum et à l’envie.

 Comment pourrai-je conclure ce poème,

 Sans dire à toutes et à tous,  je vous aime.

 Avec mes souhaits pour cette nouvelle année,

 Au pessimisme ne restons pas condamnés.

 Car c’est seulement un peu de joie de vivre,

 Qui doit enfin nous permettre de survivre.

 Alors je vais  me répéter « Joyeux Noël »,

 Même si notre monde est un peu irréel.

 Henri LANDA (22 Décembre 2016).

Bonjour à toutes et à tous,

Notre amie "Ghislaine", nous propose pour ce nouvel atelier un curieux défi: un acrostiche géant avec toutes les lettres de l'alphabet. j'ai failli renoncer devant la difficulté et puis j'ai quand même tenté de faire un poème en alexandrins tenant compte de cette particularité. Voici donc ma participation. Bonne lecture. Merci.

Henri. 

21eme. Atelier d’écriture de « Ghislaine » !

 Alors il  me faut donc relever ce défi,

 Bon, des difficultés je vais bien faire fi.

 Ce qui ne sera quand même pas  facile,

 Dans  ma tête, plusieurs solutions oscillent.

 Et parmi cela il va me falloir choisir,

 Forcément, je vais piocher dans mes souvenirs.

 Gageons, qu’ils vont me dicter les vers à venir.

 Heureusement, j’ai une bonne mémoire,

 Il est rare que celle-ci me laisse choir.

 Je songe ainsi, à ce sport que j’ai adoré,

 Karting,  mes performances qui s’amélioraient.

 Les excellents moments que j’ai pu y passer,

 Me restent éternellement dans la pensée.

 Nul ne pourra jamais me les faire oublier,

 Oh non, car je ne m’y suis jamais ennuyé.

 Par contre j’aurais là un seul  petit regret,

 Que le temps m’ait  manqué pour faire des progrès.

Rarement je trouvais moment  de m’entraîner,

 Seules les journées de mon travail s’enchaînaient.

 Tant d’années se sont écoulées et je songe,

 Un texte qui,  me semble,  un peu s’allonge.

 Voilà donc le risque qu’il faut que j’évite,

 Week-end de repos pour moi j’avoue j’hésite.

 Xylophone, je n’ai jamais  su en jouer,

 Y penser maintenant me parait bien tardif,

 Zut, même en rêve,  cela  me rend maladif.

Henri LANDA (21 décembre 2016)