Bonjour à toutes et à tous,

Je ne pensais pas écrire sur un sujet politique et puis la réaction de la candidate Marine Le pen déclarant que dans la rafle du Vel-d'Hiv.  la France n'avait aucune responsabilité dans ce sinistre événement m'a incité à écrire ces quelques alexandrins. je vous en souhaite bonne lecture. Merci.

Henri.

La rafle du Vel-d’Hiv !

Le Vel- d’Hiv. Serait un détail de l’histoire,

Qu’il nous faudrait effacer de nos mémoires.

Car la  France n’en serait pas responsable,

Et ne doit surtout pas se sentir coupable.

Pas de « Jean Marie le Pen », la déclaration,

Mais de sa fille, une autre génération.

Mais pourtant cette rafle  a bien existé,

Si  treize mille Juifs, ont été déportés,

Puis dans les camps de la mort exterminés.

Or  dans l’oubli surtout ne  pas nous confiner.

Ce nouveau cafouillage du « front national »,

Pourrait  paraître chez eux peut-être, banal.

Mais doit quand même nous donner à réfléchir,

Sur ce que serait avec eux notre avenir.

Nous avons vécu ces années d’occupation,

On ne peut en faire que la dénonciation.

Et oublier ceux qui en furent victimes,

Me semblerait tout simplement un crime.

Alors je voudrais bonnement  en conclusion,

Sans vouloir influencer votre décision.

Avant de glisser votre bulletin de vote,

De ces « détails de l’histoire », prenez note.

Henri LANDA.(10 Avril 2017)

Bonjour à toutes et à tous,

"Fée Capucine" ,nous demande d'écrire un texte en employant quelques mots commençant par "DAN". J'ai donc plongé dans mes souvenirs bien lointains où en vacances dans le Blayais, à Tauriac le Moron l'un de nos plaisirs était d'aller dans les bals clandestins. Voici donc ma participation en quelques alexandrins. Bonne lecture. Merci.

Henri.

« DANGER » ! Pour « Fée Capucine » !

Jeunes, pour nous en période d’occupation,

Elles étaient vraiment rares les distractions.

Heureusement, nous avions les « bals clandestins »,

Organisés par un vieux musicien, Justin.

Bien sur y aller, représentait un danger,

La salle n’était pas du tout aménagée.

Le dancing, c’était  une vieille bâtisse,

Amical, mais interdit par la justice.

Si nous n’étions pourtant que de piètres danseurs,

Ces moments de liberté, c’était le bonheur.

Danser, c’était plutôt se dandiner,

Et surtout contre l’interdiction ricaner.

Jeunes nous la désirions cette liberté,

Ces interdictions, ne pouvaient que nous heurter.

Notre rêve c’était d’apprendre la danse,

Afin d’en profiter avec abondance.

Mais si nos sorties, étaient bien dangereuses,

Notre joie, était des plus chaleureuse.

Surtout n’oublions pas ces si tristes années,

Et évitons pour des riens de nous chicaner.

Nous avons la chance d’être un pays libre,

Essayons d’en conserver les équilibres.

Henri LANDA (7 Avril 2017).