Bonjour,

Pierre mon Frère m'a fait parvenir un article paru sur Sud-Ouest.fr relatant l'aventure d'un "bébé phoque" qui  sur les côtes sud de la Bretagne, repoussé par la violence de la houle s'est retruvé sur la plage. Pour s'abrter il est rentré dans le jardin d'une maison tout prêt de là. Cette information m'a donc inspiré mon petit texte uivant. Bonne lecture. Merci.

Henri. 

Un Bébé Phoque dans un Jardin !

Un bébé phoque réfugié dans un jardin,

 Mais voilà qui n’est quand même pas anodin.

 Un tel animal dans cette situation,

 Apparaît là, un peu comme une aberration.

 Même situé à cent mètres de la mer,

 Cela ressemble fort à une chimère.

 On pourrait penser qu’il s’agit d’une blague,

 Il a échoué,  épuisé par les vagues.

 Et les pompiers ne savaient  comment le prendre,

 Ce petit animal, peut toujours surprendre.

 C’était un gros bébé de quatorze kilos,

 Et il fallait pourtant le ramener à l’eau.

 Et  après avoir réussi la capture,

 Avant de le remettre dans la nature,

 Ils l’ont emmené pour soins éventuels,

 Mais le labo n’a rien trouvé d’exceptionnel.

 Après donc quelques jours  de repos seulement,

 Il pourra alors retrouver son élément.

 Et il partira à travers l’Atlantique,,

 Car c’est un animal aquatique.

 Jusqu'à retrouver sa banquise en hiver,

 Avec ses congénères c’est son univers.

 Henri LANDA (1^er Février 2013)

Bonjour,

Pour le N° 95 des "Jeudis en Poèsie" des "Croqueurs de Mots" C'est "Lenaïg" qui est à la barre. Elle nous demande de "broder" autour de ce titre "Tout ce qui est petit est inouï" J'ai par manque de temps raté le défi N° 94. J'ai donc tenté de participer avec le petit billet suivant. Bonne lecture. Merci.

Henri. 

Tout ce qui est Petit est Inouï !

      ( les jeudis en Poésie N° 95 !)

 J’avais pensé à la « Comtesse de Ségur, »

 En songeant au « Bon petit diable », bien sur.

 Et puis j’ai voulu un texte plus personnel,

 Avec le sujet, quand même plus rationnel.

 Je me souviens alors que j’étais tout  gamin,

 Et que je me souciais fort peu du lendemain.

 Pour l’un de mes tous premiers anniversaires,

 Un vieil Oncle me remit au moment du dessert,

 Dans une boite une simple pièce d’or,

 Pour moi paraissant sans valeur de prime abord.

 Les Parents la mirent de côté, me disant,

 Tu seras heureux de la trouver dans soixante ans.

 Et encore une fois, comme ils avaient raison,

 Car plus tard son prix fût sans comparaison.

 Bien sur cette historiette n’est qu’une fable,

 Mais qui pour ce défi, m’a semblé valable.

 Comme quoi, tout ce qui peut paraître petit,

 Mais qui offert avec beaucoup de sympathie,

 M’autorise une excellente solution,

 Pour tirer de ce récit une conclusion.

 Henri LANDA (31 Janvier 2013)

,