Souvent une circonstance, une odeur, une saveur, une musique viennent nous parler du passé. Nous avons raison de nous y arrêter mais, comme vous le dites si bien il faut continuer vers demain...

encore un grand merci pour vos participations au défi n° 126. Les chaises campagnardes vous ont bien inspiré. Si le coeur vous en dit, le défi n°127 est proposé par enriqueta sur son blog et rappelé sur le blog des croqueurs.

bises et belle semaine

Blog que je découvre et dont ce poème ravit l'esprit. AMitiés

souvenirs souvenirs quand ils nous tiennent dans le creux de leurs mains

les miens ne remontent pas si loin, mais sont encore bien présents.

joli texte  plein de nostalgie

chaises ou bancs à l'extérieur une invitation à faire une pause. et quel moment privilégié pour se rappeler. et rêver aussi au temps devant soi. belle interprétation de l'image. merci Henri

Joli voyage dans le temps.

Bonjour Henri,

Ah que de souvenirs ressurgissent lorsqu'on se pause ne fût-ce qu'un  instant , et tu as très bien évoqué les tiens !

Bises

Dominique

Bonjour Henri.

" Sur le banc ".De vieux souvenirs reviennent à ta mémoire.

Une longue vie, faite de bien, j'en suis sure.

Retour sur un grand passé, pensant au petit avenir.

Comme toujours, tu as su guider ta plume.

Bises bien amicales.

Aimée

Bonsoir Henri sur le banc... que de souvenirs, tu as su nous faire partager les tiens avec cette écriture en vers qui me ravit. Bonne soirée  Bisous MTH

Ceci est un copier/coller pour vous donner des nouvelles. Je vous remercie toutes et tous de vos gentils commentaires. En compagnie de mon « poux ronchon », nous avons ramené maman dans son île le 27/06/2014. Après de nombreuses péripéties concernant son facteur santé, l’opération concernant sa vésicule biliaire a été abandonnée en accord avec le chirurgien de la clinique où elle se trouvait. Il gérait le dossier avec les chirurgiens du CHU de Nantes. Comme me l’a exprimé le chirurgien, elle a 88 ans, bientôt 89, un cœur très fatigué et une bronchite chronique qui la désature en oxygène dans le sang, alors de la médecine de confort à domicile OUI, avec un suivi régulier, mais PAS D’OPERATION. Il faut lui fiche la paix. Elle a tout de même perdu 8 kilos en 1 mois et demi. Elle dispose donc depuis samedi, d’oxygène à raison de 2 heures par jour pour la soulager, et des médicaments pour traiter son taux d’acide urique, découvert par le médecin de mon village quand elle a fait sa jaunisse. Les médicaments d’usage aussi, bien entendu pour sa cardiopathie. J’attends aujourd’hui le passage du médecin de l’île pour effectuer un « feed back », ce que je redoute, car comme vous le savez, ce n’est franchement pas mon copain. Autrement, nous repartons demain matin, en confiant maman aux bons des infirmiers 2 fois par jour, aux ADMR le matin pour du ménage et la prise du repas de midi, et à une bonne âme de confiance que nous rémunérons en CESU pour le repas du soir et la mise au lit. Je pense ainsi que tout est verrouillé, mon prochain passage devant s’effectuer vers le 14 juillet 2014. De cette façon, je vais pouvoir reprendre gentiment mes activités bloguesques. M’occuper également de ma maison et finir d’aménager la véranda qui est pratiquement terminée, encore un petit problème de rideaux à régler. Pour ceux qui partent en vacances, du soleil et du repos. A bientôt ZAZA

Un joli poème avec de belles réflexions sur une vie riche et mouvementée.

Bonne semaine Henri. Bises amicales

Sur le banc...voilà qui me rappelle de bon moment à la radio des voix inoubliables 

merci pour ce souvenir grâce aux chaises de Jeanne ! 

Bonjour Henri, merci de ta visite,

Toujours de très belles lignes écrites de ta belle plume

Merci à toi

Bonne fin de journée

Bises de Laure et amitiés de boutondor

"Sur le banc" , comme dans le temps, avec Jeanne Sourza et Raymond Souplex...Bien savoureux tout comme ton texte.

Passe une belle semaine, Henri . Bisous. Francine Clio.

Super Henri ! J'aime beaucoup ! Défi magnifiquement relevé à mon goût ! Bonne poursuite de ce lundi et agréable semaine toute entière ! Bises.

Très joliment écrit et interprété, merci Henri!!!

Je profitais de la sieste de ma petite fille pour venir vous lire et publier vos liens mais voilà que mon mari a fait du bruit et l'a réveillée grrr!!!
je te souhaite une douce journée et à très bientôt!!!
Bises amirales.
Dômi.

bonjour Henri , ah oui une belle tranche de vie que tu as fais défilé sur le banc  !

 merci pour ces beaux texte-poétique ! bel am  A+  amicalement 

merci pour tes coms qui me font très très plaisir ...

par tes compliments qui me font du bien et +++  merci 

Comme il est doux de s’asseoir calmement et de réfléchir à notre passé..
alors que passe devant nous une jeunesse débordante de projets et de vie
Nous allons plus lentement, mais nous pouvons encore profiter des nouvelles technologies
ce qui nous fait rester  "dans le vent".
Merci d'être passé chez moi..
Je te souhaite une superbe semaine

Bonjour Henri, merci beaucoup pour ces beaux alexandrins méditatifs sur un banc accueillant, une belle vie pas finie ! Bises bien amicales.

Bonjour Henri j'espère que tu as passé un bon WE !!! de bien jolies lignes pour de merveilleux souvenirs de notre jeunesse ! merci !  très bonne semaine à toi !

coucou Henri

Il faut se rappeler de tous ces bons moments passés

et laisser de côté les autres ceux que l'on a moins aimé

il y aura encore beaucoup de bons moments encore

même si ils sont bien différents du passé 

Mais il faut toujours avancé !!

gros bisous et bonne semaine

MITOU

Je suis aussi retraitée et parfois j'ai la nostalgie de ma jeunesse, mais je me dis aussi que bien des progrès ont été réalisés. Tout n'est pas à jeter et allons encore de l'avant !
Tes textes sont toujours très plaisants.
Bon début de semaine.

J'aime beaucoup. Qu'ils sont doux nos souvenirs d'enfance et de jeunesse. C'est le défi N° 126 Henri. Le 127 c'est le prochain. J'ai vu des chaises, tu as vu un banc. Belle semaine

Bonjour Henri.... eh oui en voyant la jeunesse des autres il remonte en nous la nôtre pas d'hier, mais elle a eu ses bons côtés.... de nos jours côté travail il est moins aisé d'en avoir et puis de le garder !  Bien amicalement de la part de jill