Bonsoir à toutes et à tous,

Dans la nuit nous allons encore une fois passer  l'heure d'hiver, ce changement très discuté depuis si longtemps m'a inspiré ces quelques alexandrins. je vous en souhaite bonne lecture; Merci.

Henri. 

Passage à l’Heure d’hiver !

 Fin Octobre, il va donc nous falloir changer,

 Et nombreux, c’est vrai s’en trouvent fort dérangés.

 Mais en définitive, cela sert à quoi ?

 Et les résultats acquis, sont ils adéquats ?

 Changement institué depuis quarante ans,

 Il semble qu’il  ne soit pas vraiment attrayant.

 Le but, c’était les économies d’énergie,

 Nos scientifiques en faisaient l’apologie.

 Mais au final qu’en est-il de ce changement,

 Pour beaucoup surtout, de nombreux désagréments.

 Les personnes âgées en seraient dérangées,

 Leur horloge biologique étant perturbée.

 Il faudrait peut-être pousser la réflexion,

 Et pourquoi pas trouver une autre solution.

 La Russie, y a finalement renoncé,

 Nous pourrions nous aussi contre,  nous décider.

 Ce changement aurait-il des inconvénients ?

Parions que nombreux le trouveraient attrayant.

 En attendant, changeons notre heure de réveil,

 Car nous aurons une heure de plus de sommeil.

 Mais souhaitons  que de nombreux  scientifiques,

 Nous trouvent  une solution bénéfique.

 Henri LANDA (30 Octobre 2016).

Bonjour à toutes et à tous,

Pour ce quinzième Atelier d'Ecriture, "Ghislaine" nous demandait de nous inspirer d'une photo représentant une femme sur un pont avec un fond de "clair de lune". Sans inspiration, j'ai failli renoncer, mais j'ai finalement improvisé quelques alexandrins que cette image me suggérait. Bonne lecture.Merci.

Henri. 

15^ème. Atelier d’écriture chez Ghislaine !

 Mais que pourrait donc m’inspirer cette image,

Je suis sans imagination, quel dommage.

 Car pourtant cette photo est magnifique,

 Il me faudrait lui trouver un historique.

 Une femme sur un pont au clair de lune,

 Je pense alors à Venise et sa lagune,

 Où elle attend le passage d’un gondolier,

 Avec lequel, elle rêverait de s’allier.

Mais désemparée  de ne pas l’apercevoir,

 Seule, elle laisse éclater son désespoir.

Un point à l’horizon, naviguait  lentement,

 Une gondole s’approchait tout doucement.

 Et aussitôt son regard se mit à briller,

 Apercevant de ses yeux tout écarquillés,

 Celui qu’elle espérait de toutes ses pensées,

 Réalisant  son rêve, et enfin l’embrasser.

 Ce fût le début d’une superbe idylle,

 Pour les deux un souvenir indélébile.

 Les Dieux de l’Amour, étaient toujours avec eux,

 Et de leur bonheur,  étaient vraiment très heureux.

  Henri LANDA (28 Octobre 2016).