Bonjour à toutes et à tous,

Pour ce nouveau défi, avec notre Amie "Jill Bill" à la barre du navire des "Croqueurs", après nous avoir demandé d'écrire sur la "beauté', nous demande maintenant de broder sur la "laideur". Voici donc en quelques alexandrins ma participation à ce nouveau défi. je vous en souhaite  bonne lecture. Merci.

Henri.

« La Laideur » ! (Jeudi en Poésie) !

En ce jeudi, pour la « poésie des croqueurs »,

Je dois m’inspirer pour parler de la laideur.

Je songe par exemple à « Quasimodo »,

Il en est un bel exemple, grosso modo.

Mais il y en a tant, en littérature,

Que je pourrais sans mal tenter l’aventure

Victor Hugo qui a écrit, « l’homme qui rit »,

Celui  qui aurait pu se faire  « hara kiri ».

Avec son horrible blessure au visage,

Il gardait un bel optimisme de sage.

Car  cette laideur seulement extérieure,

Ne doit pas cacher la beauté intérieure.

Le regard franc accompagné d’un sourire,

Doit être plutôt facile à acquérir.

Cela devient un plaisir pour l’entourage,

Faites en l’essai je vous y encourage.

Evitons ce qui pourrait être moqueries,

C’est un genre qui risquerait d’être mal pris.

Enfin il va me falloir pourtant  conclure,

Que mon billet ait quand même un peu d’allure.

Je dirais, laideur, beauté, c’est très suggestif,

J’ai tenté pour mon texte, d’être créatif.

Henri LANDA  (23 Février 2017).

Bonjour à toutes et à tous,

Notre amie "Clara" nous propose de broder sur l'expression " se faire rouler dans la farine" en rapport avec les élections. Voici donc ma participation. Bonne lecture. Merci.

Henri

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« Les Expressions du Mois » ! (Pour « Clara ») !

         « Se faire rouler dans la Farine »

Dans deux mois nous allons avoir des élections,

Pour faire part de notre désapprobation.

Mais notre choix est rendu bien difficile,

Entre tant de programmes parfois débiles.

Va t’on se « faire rouler dans la farine » ?

J’avoue que maintenant, cela me chagrine.

Ne comptons plus sur un homme providentiel,

Alors surtout, concentrons nous sur l’essentiel.

Les « primaires », nous ont montré  leurs limites,

Nous sommes sur un baril de dynamite.

Un grand nombre d’électeurs ne comprend plus rien,

On va vers la révolte des prolétariens.

Les Français aimeraient voter en confiance,

Ils n’ont pour tous les candidats que défiance. 

Ils ne veulent plus de  promesses non tenues,

Les politiques sont maintenant prévenus.

Et ils devront être extrêmement prudents,

Afin de devenir le nouveau président.

Ainsi donc, attendons avec impatience.

Le pays lui, risque de manquer de patience.

Henri LANDA (21 Février 2017).